Les zones de non-droit se multiplient à Limoges, en particulier dans les quartiers sensibles de la ville. Après une première nuit le 14 juillet de violences urbaines dans le quartier du Val de l’Aurence, seulement 4 jours plus tard, le quartier a de nouveau explosé dans un chaos total. 10 policiers ont été blessés dans ces terribles affrontements contre les racailles.
Il y a dans les quartiers de Limoges une volonté d’affronter les forces de l’ordre, de blesser et de tuer. Je condamne fermement toutes ces violences et j’apporte tout mon soutien à la police qui œuvre chaque jour à nous protéger de la racaille. Les policiers évoluent dans un climat difficile de laxisme judiciaire et d’actes de violences parfois encouragés ou parfois minimisés par des élus d’extrême-gauche.
Si l’extrême-gauche est le parti du chaos, la ville de Limoges est administrée par le parti de l’impuissance et du manque d’anticipation. Tous les étés, ce quartier brûle. Le coup de semonce des premières violences du 14 juillet aurait dû faire réagir le maire plus tôt. La demande de renfort d’une compagnie de CRS est beaucoup trop tardive. La répétition systématique de ces violences au même moment de l’année démontre son impuissance à maitriser une insécurité grandissante dans sa ville.
Fin du laxisme judiciaire et de l’impunité, renforcement de la police et des équipes de nuit, suspension des aides sociales et restriction de l’accès aux logements sociaux aux familles de délinquants, fin de l’excuse de minorité et abaissement de l’âge de la majorité pénale, expulsion systématique des délinquants et criminels étrangers… les solutions existent, seul le Rassemblement National aura le courage de les mettre en place. Beaucoup de Français s’aperçoivent que nos solutions auraient empêché de nombreux quartiers de devenir des poudrières.
CP-Freychet200725