Dans le cadre de la construction de la ligne Très Haute Tension (THT) à Soorts-Hossegor,
        Extinction Rebellion (XR) persiste à défier l’ordre républicain en occupant illégalement une zone naturelle
        classée. Ces actions, loin d’être isolées, témoignent d’un mépris systématique des lois et d’une volonté
        de bloquer des projets essentiels pour notre souveraineté énergétique.
        Loin de toute revendication pacifique, Extinction Rebellion s’inscrit dans une logique de confrontation
        systématique. Après l’envahissement de l’hémicycle du conseil régional de Nouvelle-Aquitaine en
        2023 et le blocage de l’autoroute A69 en 2024, ses actions se sont encore radicalisées. En juillet
        2024, deux mobilisations contre les mégabassines ont illustré l’escalade inquiétante de leurs
        actions. Dans le Poitou, des milliers de militants ont défié les forces de l’ordre, attisant un climat de
        tension extrême. Quelques jours plus tard, à La Rochelle, les affrontements ont atteint un niveau
        alarmant : neuf blessés, vitrines brisées, commerces pillés, abribus détruits, et même des intrusions
        scandaleuses dans des maisons de retraite.
        À Soorts-Hossegor, l’occupation illégale d’XR crée un risque accru d’incendies dans une région
        sensible tout en entravant un projet crucial pour l’avenir énergétique de notre pays. Ces
        comportements irresponsables, motivés par une idéologie radicale, ignorent les réalités de terrain et
        mettent en péril la biodiversité ainsi que la sécurité publique.
        Face à ces dérives, nous saluons la réaction rapide de la Préfecture des Landes, mais rappelons que
        seule une réponse judiciaire exemplaire permettra de rétablir l’autorité de l’État. Le projet de ligne
        THT, équilibré et respectueux de l’environnement, est une nécessité pour moderniser nos
        infrastructures électriques et garantir notre indépendance énergétique.
        Le Rassemblement National exige des poursuites systématiques contre les militants impliqués et
        réitère son appel à une politique de tolérance zéro envers ces actions extrêmes. Il est temps de
        garantir la primauté de la loi face aux intimidations d’une minorité bruyante et radicale.

