Pavoisement du drapeau palestinien à la mairie de Blaye : un affront à la mémoire des victimes du 7 octobre

Quelques mois après que la municipalité écologiste de Bordeaux a brutalement décidé de suspendre le jumelage pluridécennal avec la ville d’Ashdod, en Israël, et que la gauche du Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine a adopté une motion, portée par le groupe communiste, appelant le Gouvernement à reconnaître « l’État de Palestine », c’est désormais la municipalité de Blaye — sous-préfecture de la Gironde — qui affiche sa solidarité avec une entité pogromiste, dirigée par une organisation terroriste militarisée, assassine d’enfants, détentrice d’otages et affameuse de populations.

Parmi les rares municipalités françaises à avoir répondu à l’appel du premier secrétaire du Parti socialiste en hissant le drapeau palestinien sur leur fronton, l’exécutif de Blaye foule aux pieds la volonté de 71 % des Français, viole le principe républicain de neutralité du service public, légitime le Hamas et blesse profondément les Blayais de confession juive, déjà confrontés à une recrudescence alarmante des actes antisémites.

Cette faute morale révèle les arrière-pensées électoralistes abjectes d’une gauche déliquescente, soumise au communautarisme et prête à toutes les manœuvres clientélistes à l’approche des élections municipales.

Le Rassemblement National exprime son soutien à la population blayaise, indignée par les agissements d’une municipalité manifestement en rupture avec les attentes de ses administrés, et salue les poursuites engagées par la préfecture de la Gironde.

CP-Drapeau-palestinien-Blaye-PDF

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