Ce mardi 17 juin, lors de la séance plénière du Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine, le groupe Rassemblement National s’est opposé avec détermination à la motion déposée par les écologistes visant à instaurer un moratoire sur le projet industriel E-CHO à Lacq, dans les Pyrénées-Atlantiques.
E-CHO n’est pas un projet comme les autres. Il représente une réponse concrète aux grands défis de notre époque : réindustrialiser la France, garantir notre autonomie énergétique, et produire des carburants bas-carbone pour des secteurs stratégiques comme l’aérien et le maritime. Avec 800 emplois directs et indirects à la clé, et 2 milliards d’euros d’investissement, c’est une opportunité majeure pour un territoire frappé de plein fouet par la désindustrialisation. Une chance pour la France. Une urgence pour notre souveraineté.
Mais les écologistes, fidèles à leur idéologie décroissante, ont voulu saborder ce projet au nom d’une écologie de l’interdiction, punitive et déconnectée du réel. Leur moratoire était un coup porté à l’emploi, à l’innovation, et à la capacité de notre pays à produire les énergies de demain sur son propre sol.
Le Rassemblement National a voté contre, par cohérence et par responsabilité. Nous refusons de laisser l’obsession verte briser la relance industrielle française. Nous refusons la soumission énergétique et le déclin économique programmés par les dogmes de la décroissance.
Comme l’avait déjà souligné Nicolas Cresson, notre candidat aux législatives 2024 sur cette circonscription : « Ce projet est une chance industrielle majeure. Il ne dérange que les adeptes de la décroissance. »
Nous continuerons à défendre une écologie du réel, fondée sur le progrès, la technologie et le bon sens. Une écologie au service de la nation, pas contre elle. L’industrie française mérite mieux que les blocages idéologiques des Verts. Le Rassemblement National restera fidèle à sa ligne : produire, investir, protéger.
CP-Verriere180625